Gerald Darmanin se convertit à l’islam pour prouver que les musulmans sont “cons et dangereux”
Ce n’est un secret pour personne : l’islamo-gauchisme menace notre République. Et le gouvernement compte bien tout faire pour endiguer ce phénomène. Bien déterminé à prouver à tous les Français ce que sont réellement les musulmans (enfin les “mauvais musulmans”, ceux qui ne sont pas Chinois), le ministre de l’Intérieur a décidé de se convertir à l’islam.
Hassen Chalghoumi lui souhaite la bienvenue dans la oumma
L’imam de Drancy s’est empressé de souhaiter la bienvenue à Gérald Darmanin dans la oumma, la communauté des croyants. “Nous sommes heureux d’accueillir un homme avec de si grandes responsabilités parmi nous. Je pense qu’au fond de lui, il a toujours été musulmans. L’islam est une religion de tolérance et il représente tout ça. Je trouve que le prénom Oussama lui irait bien… Ou encore Moussa, comme son grand-père (Moussa Ouakid, un ancien harki algérien)”.
Marlène Schiappa a elle aussi encouragé Gérald Darmanin dans sa conversion à l’islam. La ministre déléguée chargée à la citoyenneté a félicité son collègue de la place Beauvau pour ce choix courageux. Elle a également appelé tous les musulmans à “accueillir le ministre de l’Intérieur comme l’un des leurs”, précisant que si l’islam est une religion de paix, comme elle le prétend, cela ne devrait pas être difficile.
Dans les milieux traditionnels, cela crée émoi et polémique
Chez les musulmans les plus pieux, cela ne passe pas. Beaucoup considèrent Gérald Darmanin comme l’un des plus grands islamophobes que le pays ait connu depuis Charles Martel. “C’est un mécréant. Il fait ça juste pour nous décrédibiliser” assure l’imam de la prochaine mosquée de Strasbourg. “Il va nous attirer le mauvais oeil, ce bâtard” a quand à lui écrit sur Twitter un digne représentant de l’islam de France.
Mais il n’y a pas qu’auprès des fidèles que la conversion de Darmanin ne passe pas. Chez les franges les plus conservatrices de la société laïque, cela fait également scandale. Ainsi, Eric Zemmour y croit une preuve de plus que le grand remplacement est en marche : “Regardez! Ils sont de partout, même au gouvernement. Je pense même qu’Erdogan est derrière tout ça”.