Pâques : N’ayant ni masque, ni gel hydroalcoolique, Jésus préfère ne pas descendre sur Terre cette année
Le coronavirus aura décidément marqué l’année 2020 et changé la face du monde. Cette année, les 2 milliards de chrétiens qui peuplent la Terre célèbrerons une fête de Pâques “au rabais”, en raison de l’épidémie de Covid-19 qui frappe actuellement l’Humanité.
“Et puis, de toute façon, je n’ai pas d’attestation de déplacement”
Comme le rappelle Jésus, ressusciter ne fait pas partie des motifs de déplacements à cocher sur les attestations dérogatoires. “Si je me fais contrôler, je leur dit quoi aux autorités, moi ? Je n’ai ni attestations, ni de quoi me protéger ou respecter les gestes barrières. Alors, je préfère rester chez moi. La dernière fois qu’on m’a contrôlé, ce salaud de Ponce Pilate m’a crucifié, alors…”.
Marie Madeleine, une proche du Christ, a elle aussi indiqué qu’elle ne viendrait pas se joindre aux festivités cette année. “Si Jésus, n’est pas là, alors je ne sers plus à rien. Je ne vais pas faire semblant de le voir ressusciter”. Et puis, elle a ajouté : “En plus, en temps que prostituée, je n’ai pas de boulot en ce moment. Je fais du télétravail“.
Le christianisme n’est pas la seule religion a être affectée par la situation actuelle
Si les Chrétiens ne vont pas avoir droit à leur Pâques, les musulmans eux risquent d’avoir un ramadan plus long. Pour palier l’effondrement du cours du pétrole (là encore, le coronavirus n’y est pas totalement étranger), l’Iran et l’Arabie Saoudite ont décidé de devancer la date du début du jeûne. Et ils pourraient bien en décaler aussi la fin pour le rallonger.
Les adeptes de la finance folle et de la spéculation, l’une des religions ayant converti le plus de fidèles ces dernières années, sont également touchés. Leur foi souffre elle aussi. Les cours de la bourse se sont eux aussi écroulés (un peu comme le pétrole) et ont entrainé dans leurs chutes les espérences de bons nombres d’hommes et de femmes.