Épidémiologie : Les roux seraient un “nouveau variant” de l’humanité apparu en Écosse il y a 12 000 ans

Les séquençages de génome de Covid-19 battent leur plein. De partout autour du monde, les laboratoires tentent de percer le mystère de ce coronavirus, de Pfizer à l’IHU de Marseille. Des chercheurs de l’université de Glasgow viennent de faire une découverte exceptionnelle. Si elle n’a aucun intérêt pour la lutte contre la pandémie, elle pourrait bien changer la face du monde. Selon eux, les roux seraient un nouveau variant venu d’Écosse de l’homo sapiens sapiens (nous).

L’apparition des roux a-t-elle un lien avec le mystère du Loch Ness?

D’après les analyses des scientifiques à l’origine de cette découverte, les roux seraient apparus pour la première fois dans la région du Loch Ness. Les datations carbone ont permis de déterminer que ce nouveau variant de l’humanité daterait de la même époque que l’apparition du célèbre Nessy dans les eaux de ce lac. D’ailleurs, les deux phénomènes pourraient être liés. “Il n’est pas à exclure que le monstre du Loch Ness soit lui aussi un nouveau variant d’une espèce endémique de monstre sous-marin”.

Mais que s’est-il donc passé dans ses hautes terres d’Écosse il y a 12 000 ans pour justifier ces soudaines apparitions? Là encore, la raison avancée est très simple. Cela correspondrait à la naissance d’Highlander. Duncan McLeod aurait perturbé la faune et la flore en invoquant les forces cosmiques qui lui auraient permis de devenir immortel. Ce serait à partir de ce moment-là qu’est né le premier roux de l’humanité, dont Ron Weasley, le meilleur ami d’Harry Potter, est un lointain descendant.

Les roux sont-ils Européens?

À l’heure du BREXIT, une question se pose : si les roux sont Écossais, sont-ils pour autant Européens? On sait que les habitants de l’Écosse se sentent proches de l’Europe et se sont prononcés en faveur de l’Union Européenne, contrairement à leurs voisins Anglais. Le domaine étant politique, les chercheurs n’ont préféré pas se prononcer, laissant les historiens résoudre cette énigme (ce qui, disons-le, n’est pas prêt d’être résolu).

Au vu de ses nouvelles révélations sur notre humanité, il sera intéressant de suivre de plus près les résultats du tournoi de VI Nations, afin de voir si les rugbymen du XV du Chardon (l’équipe d’Écosse) sont-ils vraiment différents de leurs homologues Anglais, Gallois, Irlandais, Français ou Italiens.