Agnès Buzyn n’aurait été qu’une intelligence artificielle conçue pour amuser les médias
L’ancienne ministre de la santé est actuellement auditionnée par le Sénat (dont on connait la passion pour ce genre d’exercices). Et les parlementaires ont eu une bonne surprise! Contre toute attente, la prédécesseure d’OIivier Véran n’était que du flan : elle aurait été une intelligence artificielle placée au Ministère de la Santé pour occuper l’espace médiatique (et empocher 10 000 euros pour mois). Difficile donc de lui reprocher quoique ce soit dans la gestion de la crise sanitaire.
Laurent Alexandre, médecin et chantre de l’IA en France, serait derrière ce programme informatique
Agnès Buzyn aurait donc été conçue en laboratoire (un peu comme le Covid-19, selon certains). Et cette intelligence artificielle aurait été dans les tuyaux de LREM dès le début de la campagne présidentielle de 2017, bien avant qu’Emmanuel Macron ne soit élu à l’Élysée. À l’époque, le futur président de la République comptait confier le portefeuille de la Santé au patron du laboratoire Sanofi. Mais ses proches collaborateurs lui ont déconseillé : les Français n’auraient pas compris qu’un ministère aussi important soit offert à l’industrie pharmaceutique.
L’idée a alors germé dans les esprits de Ismael Emelien, Alexis Kohler, David Amiel et Alexandre Benalla (les plus proches collaborateurs du candidat Macron) de mettre sur pied un programme informatique pour occuper le poste de Ministre de la Santé sans pour autant nommer quelqu’un. Ce projet a alors été confié à Laurent Alexandre, fondateur de Doctissimo, qui, depuis son laboratoire du Cloud, a développé une intelligence artificielle plus vraie que nature.
Sibeth N’diaye, elle, est bien réelle
La porte-parole du gouvernement a été, elle aussi, auditionnée par le Sénat. Et cette dernière est bien vivante, au contraire de son ancienne “collègue” Agnès Buzyn. Les égarements de la secrétaire d’État (sur les masques, sur la pandémie, …) n’ont donc rien à voir avec un algorithme de machine learning qui serait mal réglé, mais bien dû à des erreurs de jugement. Elle est donc “responsable de ses actes” .
Alors que l’on n’arrête pas de s’autoflageller, on remarque que la France a des arguments à faire valoir face aux GAFAM en matière d’intelligence artificielle. En faisant croire qu’elle était Ministre de la Santé pendant deux ans et huit mois, le programme informatique Agnès Buzyn s’est affirmé bien plus performant que Siri ou l’assistant virtuel de Google. Un pas de plus vers notre souveraineté numérique face aux américains (Google, Amazon, Microsoft, Facebook) et aux chinois (Tecent, AliBaba, TikTok) !