Lutte contre le SIDA : Un “anti-masque” renonce à ses libertés individuelles en mettant un préservatif
C’est l’un des flagrants délits les plus inattendus de ces dernières années. Alors que la fronde anti-masque prend de l’ampleur, l’un de ceux qui clament haut et fort que l’obligation de porter un masque est une privation de libertés a été vu en train de mettre un préservatif avant d’avoir un rapport sexuel avec une inconnue.
“J’ai déconné. Je demande pardon à tous ceux que j’ai déçu”
Alain, c’est son nom, le reconnait lui-même : il a fauté. La propagande des médecins qui ne cessent de mettre en avant les conséquences du SIDA et des maladies sexuellement transmissibles ont eu raison de sa quête de libertés. Il a eu peur d’être contaminé par sa partenaire, qu’il venait de rencontrer dans un bar. Il a donc accepté de renier ses élans libertaires pour utiliser un préservatif pour lui faire l’amour.
“J’ai trahi tout ce en quoi je crois, je le sais. Je suis désolé. J’ai collaboré avec la dictature sanitaire de l’OMS, liberticide et fasciste. Je ne vaux pas mieux que Pétain en 1940 lorsqu’il a collaboré avec les nazis…” concède même Alain.
Les “anti-masques” le clouent au pilori : “Il n’est plus des notres!”
Son camp, celui des opposants au port du masque, n’a pas tardé à lui tomber dessus. La grande majorité des “anti-masques” que nous avons contacté se sont montrés très sévères à l’encontre d’Alain. “Il a eu peur de quoi ? On vit très bien avec le VIH de nos jours. Grâce à la tri-thérapie, on n’en meurt plus. Un peu comme le nouveau coronavirus avec l’hydroxychloroquine, en somme.”
L’un des modèles politiques d’Alain (et également son homonyme) l’a aussi vivement critiqué. À peine sorti de sa garde-à-vue, les premiers mots de l’essayiste Alain Soral étaient pour lui. “C’est un con. Il s’est fait berné par le “couillonavirus” créé par les sionistes. Je vais devoir l’exclure d’Égalité et Réconciliation. Il n’a qu’à aller rejoindre Vincent Lapierre…”