Poutine libère enfin la femme de David De Gea, le gardien de but de l’Espagne
Quelques jours après la qualification de la Russie pour les quarts de finale de “sa” Coupe du Monde, qu’elle organise, son président Vladimir Poutine a annoncé, comme promis, avoir libéré la femme de David De Gea, le gardien de but de l’équipe d’Espagne qui, en n’arrêtant aucun penalty pendant la séance de tirs au but, a permis aux Russes de se qualifier, aux dépens des espagnols.
“De Gea a respecté sa part du marché, nous respectons la notre !”
C’est dans ces termes que le Kremlin a expliqué cette libération. Les autorités russes avouent ainsi avoir procéder à un odieux chantage afin de permettre à sa sélection nationale de se qualifier pour les quarts de finale. Mais Vladimir Poutine se défend d’avoir franchi la ligne rouge : “On prend des petits arrangements pour aller le plus loin possible dans la compétition, c’est vrai. Mais tout le monde fait ça ! Pourquoi croyez-vous que tous les pays se battent pour organiser une Coupe du Monde si ce n’est pas pour s’arranger pour la gagner ? Personne ne veut accueillir des anglais ou des mexicains chez soi sans contreparties…”.
D’après nos informations, la Russie aurait enlevé la femme de David De Gea dès qu’ils ont su que leur équipe allait être opposée à l’Espagne lors des huitièmes de finale. Puis, dans un message vidéo posté sur Instagram, ils ont expliqué au gardien de but espagnol que, s’il voulait revoir sa bien-aimée un jour, il lui suffisait de se coucher du mauvais côté sur chacune des frappes des joueurs russes pendant le match. Ce que le joueur de Manchester United a fait à merveille.
Une libération qui a tardé, car Madame De Gea ne voulait pas retrouver son mari.
Le portier espagnol a tellement bien suivi les consignes que certains commentateurs se sont même demandé, à la fin du match, s’il y avait bien un gardien dans le but de l’Espagne. La prestation du joueur aurait même fait honte à sa propre femme. En effet, si les autorités russes ont mis autant de temps pour libérer Madame De Gea, c’est parce qu’elle-même ne souhaitait pas retrouver son mari. “Dès le coup d’envoi, nous voulions la laissé partir, mais elle ne voulait pas s’en aller. Elle m’a dit qu’elle avait honte d’être avec un mec aussi nul, et voulait rester avec un homme, un vrai, comme moi”, nous précisa Vladimir Poutine. “Mais elle ne parlait qu’espagnol et, je ne sais pas pourquoi, mais cette langue m’énerve. Je lui ai donc demander de partir !”.
Lorsqu’on a demandé aux Russes s’ils avaient répété ou non l’opération avec les Croates, leur prochains adversaire pour les quarts de finale, ils n’ont pas souhaité répondre. L’un des plus haut dignitaire du Kremlin s’est simplement contenté de sourire, puis d’ajouter que “les enfants de Modric (un joueur de la Croatie) sont très sympas“. Affaire à suivre donc…
En attendant, vous pouvez retrouver nos autres articles sur la Coupe du Monde 2018 de football ici : Des joueurs du Maroc se trompent d’hymne national et Guide de survie pour les supporters italiens (et algériens) pendant le Mondial.